Scénario du spectacle sur l'histoire du Séminaire de Québec dans la Cour du Vieux-Séminaire en juillet 2013 par Olivier Dufour

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Ce spectable utilisera toutes les possibilités offertes par les techniques de numérisation et d'éclairage d'aujourd'hui. Vous verrez ce qu'Olivier Dufour et son équipe peuvent faire. Ils nous promettent du jamais vu à Québec. Pour vous mettre l'eau à la bouche voici un résumé du scénario en cours de réalisation pour le spectacle sur l'histoire du Séminaire de Québec que l'Équipe d'Olivier Dufour présentera du 11 au 23 juillet 2013 dans la Cour du Vieux-Séminaire.

Cour du VIeux Séminaire de Québec avec l'orme célèbre au centre  Photo SME
Cour du VIeux Séminaire de Québec avec l'orme célèbre au centre Photo SME
Présentation succinte du scénario

L’objectif poursuivi par le concepteur est de raconter une histoire. Les émotions seront le canal par lequel les visiteurs vont apprendre à connaitre et apprécier l’ampleur de l’œuvre du Séminaire de Québec. Le titre, « Les architectes de la Nouvelle-France » est provisoire car il campe justement un peu trop cette action dans une période historique déterminée. Hors du temps, le récit se déploie dans un espace-temps fictif où, bien que des assises historiques balisent le concepteur, la poésie transporte d’hier vers aujourd’hui. Il n’y a donc pas de chronologie, cloisonnement, narration historique : seulement l’épopée du Séminaire.    

Par le biais de la technologie, les spectateurs vont intégrer la scène en entrant par la porte cochère de la cour. Dès lors, avant chaque projection, les gens seront accueillis à l’extérieur de l’enceinte. Les équipements vidéo et sonores vont envelopper l’espace. L’action se déroulera principalement au point de rencontre de l’aile des Parloirs et de la Congrégation mais les effets sonores émaneront d’une multitude d’endroits.

Le spectacle s’ouvre avec un François de Laval contemplant un champ vierge, rêvant à ce qui demeure à construire (intuition). Différents symboles sont employés, dont celui de l’arbre, longtemps présent au centre de la cour, grandissant au fil des décennies. 

Des « temps » imprécis vont référer à des réalités historiques connues :
- les fondations (1663-1700), les épreuves (1700-1765),
- l’enseignement (1765-1852), la cité dans la ville (1852-1960),
- éveil sur un patrimoine à préserver (1960-1995),
- un futur à appréhender avec espoir.


 



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