Collections du Séminaire de Québec (Musée de la civilisation)
Depuis la béatification de François de Laval, le 22 juin 1980, s’est ouvert une phase nouvelle dans l’étude de la vie et du message de notre fondateur, premier évêque de Québec. En effet, les travaux qui se sont succédés depuis lors ont mis en valeur son expérience et son itinéraire spirituel comme jamais auparavant. On connaissait l’évêque, le fondateur, le pionnier mais on ne s’était pas intéressé de façon approfondie à la source de ce destin incroyable, à l’âme de François de Laval, je dirais. Les divers travaux parus depuis 1980 sont venus combler ce manque. Le dernier en date est celui de Sœur Doris Lamontagne intitulé « Prier 15 jours avec François de Laval ».
Je dois vous confier que j’ai moi aussi fait ce parcours et qu’au fil des ans François de Laval s’est révélé à moi d’une manière nouvelle. Pasteur et mystique, tel fut François de Laval. Inséré dans l’action pastorale à temps plein, il n’a laissé jamais de côté la Source où il puisait force, courage, audace et persévérance, une Source où Marie et l’Eucharistie eurent une place prépondérante comme le montre l’article que j’ai écrit dans le volume qui est lancé ce soir et celui du Père Vincent Siret.
Vous comprendrez que, lorsque madame Nadeau Lacour, s’est tournée vers moi pour que je cherche plus précisément du côté de la présence de Marie dans la vie de François de Laval, je n’ai pu résister à cette grâce qui m’était faite… et aux pressions amicales de Thérèse qui a mené avec brio et avec ténacité la naissance du livre qui est lancé ce soir. Ce dont je lui suis bien reconnaissant non seulement comme auteur, mais comme Supérieur général du Séminaire de Québec qui ne peut que se réjouir que son fondateur soit ainsi reconnu et vénéré comme un maître spirituel nourri par l’apostolat et par son ministère de pasteur.
Je profite de l’occasion pour remercier, l’auteur qui s’est penché sur la source eucharistique de l’expérience spirituelle de François de Laval, le Père Vincent Siret, qui a fait un travail de fond et inédit à partir d’une lecture attentive des textes mêmes de François de Laval. Bravo Père Vincent. Nous espérons que vous continuerez ainsi à nous livrer des morceaux de l’âme de François de Laval pour notre plus grand enrichissement spirituel.
En terminant, j’aimerais aussi remercier Anne Sigier de son accueil au projet de madame Nadeau Lacour et de sa contribution toujours active à la diffusion du livre religieux chez nous.
Quelle chance nous avons à Québec d’avoir cette maison d’édition bien vivante et soucieuse d’apporter un éclairage adapté à la nouvelle évangélisation qui est à l’ordre du jour plus que jamais chez nous.
Merci.
Mgr Hermann Giguère, P.H.
Le 21 février 2008
Je dois vous confier que j’ai moi aussi fait ce parcours et qu’au fil des ans François de Laval s’est révélé à moi d’une manière nouvelle. Pasteur et mystique, tel fut François de Laval. Inséré dans l’action pastorale à temps plein, il n’a laissé jamais de côté la Source où il puisait force, courage, audace et persévérance, une Source où Marie et l’Eucharistie eurent une place prépondérante comme le montre l’article que j’ai écrit dans le volume qui est lancé ce soir et celui du Père Vincent Siret.
Vous comprendrez que, lorsque madame Nadeau Lacour, s’est tournée vers moi pour que je cherche plus précisément du côté de la présence de Marie dans la vie de François de Laval, je n’ai pu résister à cette grâce qui m’était faite… et aux pressions amicales de Thérèse qui a mené avec brio et avec ténacité la naissance du livre qui est lancé ce soir. Ce dont je lui suis bien reconnaissant non seulement comme auteur, mais comme Supérieur général du Séminaire de Québec qui ne peut que se réjouir que son fondateur soit ainsi reconnu et vénéré comme un maître spirituel nourri par l’apostolat et par son ministère de pasteur.
Je profite de l’occasion pour remercier, l’auteur qui s’est penché sur la source eucharistique de l’expérience spirituelle de François de Laval, le Père Vincent Siret, qui a fait un travail de fond et inédit à partir d’une lecture attentive des textes mêmes de François de Laval. Bravo Père Vincent. Nous espérons que vous continuerez ainsi à nous livrer des morceaux de l’âme de François de Laval pour notre plus grand enrichissement spirituel.
En terminant, j’aimerais aussi remercier Anne Sigier de son accueil au projet de madame Nadeau Lacour et de sa contribution toujours active à la diffusion du livre religieux chez nous.
Quelle chance nous avons à Québec d’avoir cette maison d’édition bien vivante et soucieuse d’apporter un éclairage adapté à la nouvelle évangélisation qui est à l’ordre du jour plus que jamais chez nous.
Merci.
Mgr Hermann Giguère, P.H.
Le 21 février 2008